[Rp HS] Helbok

Il pleut ce Jeudi 7 Mars 1863 à Amsterdam, je sens mon âme qui quitte petit à petit mon corps charnel.
Vous allez me dire qui je suis ? Et bien je vais vous raconter brièvement ma petite vie en quelques lignes seulement.

Je suis né à Calais en France en 1806 vers 18h15, fils d’un père marchand et d’une mère gouvernante j’ai eu une éducation que peux de jeunes pouvaient avoir en ce temps. Une enfance tranquille avec mes premiers amours. Ah ! Je me souviens de la belle Marine, une charment petite brune au sourire d’ange, ce fut mon premier grand amour de jeunesse. Avec le temps j’ai appris à mieux la connaitre et elle était devenu la sœur que je n’ai jamais eu, malheureusement Marine mourut à dix-huit ans dut à une grippe. Oui ce fut mon premier chagrin, peut de temps mon père nous quitta et ma mère n’ayant plus de quoi vivre quand mon père nous a quitté pour la voisine. Quand à moi vous allez me dire pourquoi suis-je encore vivant alors que je n’ai plus un sous, tout simplement je vivais tel un troubadour. Certes je gagnais misère mais cela était assez pour manger et dormir sous un toit le temps d’une nuit. Arrivé à 26ans je fis la connaissance d’une femme aussi belle que dans mes rêves, elle était plus grande que moi et elle avait un accent qui fait tout son charme. Son nom ? Stéphanie Ver Delorn une jeune hollandaise de bonne famille. Entre nous ce fut le coup de foudre, moi qui vivais comme un bohème je me retrouvai dans un palace. Notre mariage à suivit peut de temps après mon installation à Amsterdam. Quel bonheur mais il fut de courte duré lui aussi, oui Stéphanie était stérile et on ne pouvait avoir de descendance mais pour moi ce n’était pas la mort. En revenant de mon travail d’artiste dans un cabaret, j’ai vue ma femme pendu dans notre chambre. Oui ma vie n’est pas comme certains mais j’ai eu de la chance quand même malgré mon malheur.
Enfin voila mon histoire en résumé maintenant je peux mourir en paix. Mon nom, appelé moi le Troubadour au cœur fendu.

Cela fait maintenant un peu plus d'un mois que nous courons après cet homme, bien que notre brigade soit le mieux qu'on puisse trouver à Paris nous avons nous aussi nos faiblesses et il les connaissaient plutôt bien. Cela commence toujours par le même rituel au niveau de ses meurtres, tout d'abord il conduit ça victime dans un lieu inconnu de celle-ci , ensuite il l'assomme avec un objet contondant au niveau du crâne, après c'est là qu'il devient sérieux en crucifiant ses victimes quelque soit son sexe en les laissant vivantes.
Cette fois la victime se trouva pas loin de la place Pigalle, comme toute les autres avant elles, elle était crucifiée mais elle avait une chose en plus par rapport aux autres. En regardant la jeune femme agonisait on ne l'a pas vue tout de suite mais qu'en on s'en rapprochant moi et mon coéquipier on s'est rendu compte qu'elle n'avait plus ses yeux. Ce salaud lui avait arraché les yeux alors qu'elle était encore en vie et dans l'orbite droit il y avait un mot. Marc le prit et le lu à haute voix.

« Vous qui me cherchez, vous qui n'avez aucune chance de savoir qui je suis, je vais vous donner mon identité. Je ne suis qu'un simple voleur d'âmes. Paris est mon terrain de jeu, cette ville est rempli d'âmes impures qui n'attendent qu'à être prise par la violence.
PS : vous trouverez les yeux de cette charmante rousse dans un bocal de cornichons au coin de la rue en face de vous.

Cordialement le Voleur d'âmes »